Occurences de l'expression

me

pour AICARD, Jean

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PYGMALION (1872)

  1. Ce seuil m'est à moi-même interdit. v.2 (Acte 1, scène 1, LE SERVITEUR)
  2. Qu'un bloc_de_marbre informe acheté pour de l'or, v.12 (Acte 1, scène 2, LA FEMME)
  3. Hélas ! quand il m'eut pris mon charme, à_son_insu, v.15 (Acte 1, scène 2, LA FEMME)
  4. Il me chassa bien loin de lui, comme on renvoie v.18 (Acte 1, scène 2, LA FEMME)
  5. Puis un immense orgueil égarant sa raison, v.20 (Acte 1, scène 2, LA FEMME)
  6. Le coeur palpitant d'aise et l'ivresse dans l'âme, v.21 (Acte 1, scène 2, LA FEMME)
  7. Il aima la statue au lieu d'aimer la femme ! v.22 (Acte 1, scène 2, LA FEMME)
  8. Depuis ce temps, il est tombé comme un vaincu ; v.23 (Acte 1, scène 2, LA FEMME)
  9. L'artiste meurt en lui, l'homme n'a plus vécu ; v.24 (Acte 1, scène 2, LA FEMME)
  10. Faute de cet amour qui me brûle, et qu'il nie ! v.26 (Acte 1, scène 2, LA FEMME)
  11. Comme si tu pouvais comprendre mon ennui !... v.28 (Acte 1, scène 2, LA FEMME)
  12. Qu'es-tu donc pour oser lutter avec la femme, v.29 (Acte 1, scène 2, LA FEMME)
  13. Toi, corps vide d'esprit, regard vide de flamme ! v.30 (Acte 1, scène 2, LA FEMME)
  14. Un seul de mes cheveux, un soupir de ma bouche, v.33 (Acte 1, scène 2, LA FEMME)
  15. Je peux, moi, le sais-tu ? déformer ta beauté, v.36 (Acte 1, scène 2, LA FEMME)
  16. Que j'allais me frapper dans ma beauté moi-même. v.41 (Acte 1, scène 2, LA FEMME)
  17. En t'aimant, malgré lui, c'est un peu moi qu'il aime ! v.42 (Acte 1, scène 2, LA FEMME)
  18. Tu m'as ravi la mienne, et je te la réclame : v.49 (Acte 1, scène 2, LA FEMME)
  19. Tu garderas l'esprit ; je veux le coeur et l'âme ! v.50 (Acte 1, scène 2, LA FEMME)
  20. Pourquoi ne me rends-tu que froideur en retour ? v.56 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  21. Comme est belle ta tête ! et beau le mouvement v.63 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  22. De tes bras souverains arrondis doucement ! v.64 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  23. Comme ton sein pourrait vivre et bondir à l'aise ! v.65 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  24. Si je pouvais en toi souffler l'âme divine, v.70 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  25. Quel éblouissement me ferait chanceler ! v.71 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  26. Du marbre qui le tient ton pied, la grâce même ! v.73 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  27. Si je voyais ta bouche éclore et dire : « J'aime ! » v.74 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  28. Lente et me souriant, oh !... v.76 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  29. Ne blasphème pas ! v.76 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  30. Ciel ! Qui donc a parlé ! Les dieux, les dieux eux-mêmes. v.77 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  31. Ayant pris mes regrets pour autant de blasphèmes, v.78 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  32. Les dieux m'ont-ils donné cet avertissement ? v.79 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  33. Non ! les dieux sont muets autant que sourds, vraiment ! v.80 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  34. Moi ! Calme ta colère. v.81 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  35. Calme donc ce courroux. v.83 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  36. Tu te trompes toi-même : v.85 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  37. Je suis une femme qui t'aime. v.86 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  38. Va-t'en, femme ! v.89 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  39. Eh bien ! C'est moi la vie et l'amour, Psyché, l'âme ! v.90 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  40. Donc, tu me connaîtras ! v.91 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  41. J'ai mes dieux. v.92 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  42. D'aimer un être froid qui ne sait pas étreindre ; v.94 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  43. Un jour tu me chassas ; je reviens aujourd'hui. v.95 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  44. Quand l'homme fuit l'amour, l'amour s'attache à lui : v.96 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  45. Me voici de nouveau, j'arrive et je m'impose : v.97 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  46. Femme, va-t'en d'ici ; va-t'en ; tu perds ta peine ; v.101 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  47. J'ai, te dis-je, mes dieux, mon rêve, mon amour ; v.103 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  48. Regarde. J'ai créé cette forme immortelle. v.106 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  49. Qui gisaient, incertains, dans le bloc tourmenté. v.112 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  50. Mon amour et mes dieux, c'est l'art ; c'est elle encore. v.113 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  51. Oui, je t'aime, Beauté !... Déesse, je t'adore ! v.114 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  52. N'ai-je pas entendu, sous ta mamelle gauche, v.117 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  53. Un battement de coeur vague comme une ébauche v.118 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  54. Oh ! c'est toi le seul but digne de mes désirs : v.120 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  55. Tu ne trahis pas, toi, du moins ! L'être qui t'aime v.121 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  56. Te retrouve toujours belle, toujours la même, v.122 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  57. Immutable et debout, pure éternellement, v.123 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  58. Non ! car loin d'animer d'un feu nouveau ton âme, v.125 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  59. Elle a de ton génie éteint l'ancienne flamme, v.126 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  60. Ton mal est volontaire et n'a rien qui me touche ; v.134 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  61. Il ne te grandit pas ; un homme doit subir v.135 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  62. Il faut, les yeux noyés de larmes, qu'il gémisse, v.137 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  63. Et l'art sublime essuie alors avec sa main v.139 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  64. Un statuaire épris d'une femme de pierre, v.145 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  65. Fatiguait vainement les dieux de sa prière ; v.146 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  66. Toujours les mêmes yeux regardaient sans prunelle, v.153 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  67. Toujours les mêmes bras se tendant sans désir v.155 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  68. Et la même hauteur et le même silence v.157 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  69. Inexorablement niaient son espérance. v.158 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  70. Elle s'émut enfin, la déesse sans âme ; v.161 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  71. Les flammes du baiser en firent une femme. v.162 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  72. Si lentement vainqueur triompha brusquement, v.164 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  73. Ô moment savoureux, indicible, inouï, v.167 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  74. Ô vous, puissant appel d'un rêve qui s'anime, v.169 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  75. Attrait fatal des bras ouverts comme un abîme, v.170 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  76. Vous avez donc un jour empli l'âme et les yeux v.171 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  77. D'un homme chancelant de l'ivresse des dieux !... v.172 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  78. Tel, cet amant marcha vers la beauté suprême, v.173 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  79. Muet, et tout son corps jetait un cri : « Je t'aime ! » v.174 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  80. La femme n'avait pas quitté son piédestal, v.175 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  81. Avant que de sa joie il eût l'âme assouvie, v.178 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  82. La femme redevint statue, et, lentement, v.179 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  83. Eh bien ! J'accepte. Allons, anime-toi, statue ! v.181 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  84. Vivre après ce moment ne me serait plus rien ! v.183 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  85. Mourir par toi sera sublime !... Je veux bien ! v.184 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  86. Que parles-tu de mort désirée et sublime ? v.185 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  87. Que parlais-tu de bras ouverts comme un abîme ! v.186 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  88. Dans cet embrassement fatal de la beauté ? v.188 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  89. Que t'anéantissant complètement en elle, v.193 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  90. Sa clarté réfléchie en mes yeux éperdus ; v.199 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  91. Quoi ! mon coeur pris par lui ! mes bras vers lui tendus ! v.200 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  92. Le souffle créateur t'échappe, âme asservie ! v.202 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  93. Elle, fragment chétif, idéal incomplet, v.204 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  94. Elle, frêle unité dans le nombre des formes, v.205 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  95. Faible nombre, parmi les légions énormes v.206 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  96. Des formes de la vie et des choses qui sont ! v.207 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  97. Et sur le vide enfin fermer mon bras lassé ! v.212 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  98. C'est la fausse espérance et le bonheur qui ment. v.215 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  99. As-tu jamais, dis-moi, vu mes yeux seulement ? v.216 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  100. Devant toi qui cherchais une forme inconnue v.218 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  101. As-tu vu dans mes yeux se refléter l'azur, v.220 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  102. La douleur des regards, comme l'azur des deux, v.223 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  103. Tu n'as pas songé même à regarder mes yeux ! v.224 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  104. Et d'effleurer tes pieds mes lèvres sont indignes. v.229 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  105. De grâce, par pitié, ne me tends pas les bras ! v.231 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  106. Quelque autre m'aimera. Suis-je pas jeune et belle ? v.237 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  107. Va ! je t'aurais donné la science suprême, v.241 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  108. La science des dieux que l'on sait lorsqu'on aime ! v.242 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  109. Homme, triste orgueilleux, souviens-toi que la femme v.249 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  110. A le secret profond de raviver ton âme ; v.250 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  111. Que rien qu'en dénouant mes cheveux d'or soyeux v.251 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  112. Je ferais rayonner des flammes dans tes yeux ! v.252 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  113. Que, sous ma fraîche peau, la couleur de mes veines v.253 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  114. Ton secret me tourmente et je veux le savoir. v.259 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  115. À ce moment du soir, devant ce large espacer v.265 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  116. Quels parfums dans le vent ! Comme l'ombre s'apprête ! v.269 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  117. L'air doux fait palpiter mes cheveux sur ma tête ! v.270 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  118. S'avance gravement ; une étoile la suit, v.272 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  119. Qui font l'obscurité douce comme une aurore. v.274 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  120. Ondulent avec bruit comme les vastes eaux v.276 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  121. De la mobile mer qui là-bas se fait sombre ; v.277 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  122. Par la lune qui met sur leurs fronts sa clarté, v.291 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  123. Ils s'aiment. Les ramiers, au fond des myrtes verts, v.296 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  124. Une immense rumeur pleine de quiétude v.310 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  125. Toute cette rumeur immense dit : aimons ! v.312 (Acte 1, scène 4, LA FEMME)
  126. ...Ton souffle tout à coup me touche et me pénètre, v.338 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  127. Le rythme universel la berce et l'accompagne v.342 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  128. Ô vie ! Ô mouvement ! Ô sommeil, Ô réveil, v.344 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  129. Femme ! Source d'amour d'où l'idéal ruisselle ! v.349 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  130. Si je vous ai compris, mes chefs_d_oeuvre vivront v.351 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  131. Fourmiller comme au ciel dans les flots miroitants v.357 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  132. De la mouvante mer et des calmes étangs ; v.358 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  133. Sous d'obscures clartés, des formes indécises, v.359 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  134. Jusqu'au rêve parfait des formes les plus belles, v.380 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  135. Femme, dans tes yeux purs resplendit ta prunelle, v.383 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  136. Comme l'étoile d'or dans la nuit solennelle ; v.384 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)
  137. Je t'aime, car c'est toi l'âme de la Beauté ! v.385 (Acte 1, scène 4, LE STATUAIRE)

SMILIS (1884)

  1. ...Comment ! (Acte 1, scène 1, RICHARD)
  2. Oui, c'est juste, l'uniforme est toujours partout bien reçu. (Acte 1, scène 1, RICHARD)
  3. À peine avais-je le pied sur le quai de Toulon, qu'on me présente un jeune officier... (Acte 1, scène 1, RICHARD)
  4. Nous nous sommes plu, et, dans deux_jours, il viendra me rejoindre à Paris, où je ne suis arrivé, moi, que de cette nuit... (Acte 1, scène 1, RICHARD)
  5. Tiens, il y a une demi-heure, une question de service me retenait encore au ministère, et bien que je n'aie pas vu l'Amiral depuis quinze_ans, bien que je meure d'envie de l'embrasser, je n'ai pas pu venir une minute plus tôt... (Acte 1, scène 1, RICHARD)
  6. Mais, voyez-vous, entre nous, nous l'appelons Smilis ; c'est une habitude ; nous ne pourrions pas nous en défaire : on ne se défait pas comme ça d'une habitude quand on veut... (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  7. Et puis, moi, d'abord, je ne voudrais pas : ce nom me rappelle tout. (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  8. Je sais depuis longtemps que mon ami Kerguen s'est fait le père d'adoption d'une orpheline, après la mort de sa femme. (Acte 1, scène 1, RICHARD)
  9. Sur les ruines d'une maison incendiée, il l'a trouvée pleurante, et l'a prise pour l'amener en France. (Acte 1, scène 1, RICHARD)
  10. Nous passions avec un détachement... (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  11. Nous vîmes cette petite, assise sur des pierres brûlées. (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  12. Smilis ! » de toutes ses forces ; mais elle restait immobile et nous- regardait avec des yeux comme ça. (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  13. - Elle montrait sa petite poitrine, ses bras, ses jambes presque nus, et « Smilis ! Smilis ! », voilà comme elle criait, et à tout ce qu'on lui disait ne répondait pas autre chose. (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  14. Naturellement !... (Acte 1, scène 1, RICHARD)
  15. Elle commençait le grec. (Acte 1, scène 1, RICHARD)
  16. Et quand nous approchâmes, - alors, elle eut peur ! (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  17. Nous l'emportâmes. (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  18. Nous étions tout le détachement qui suivait. (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  19. Il avait laissé en France, peu de temps après son mariage, sa jeune femme tout près d'être mère, et il espérait trouver à son retour un petit frère ou une petite soeur pour l'enfant du bon Dieu. (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  20. Oui, oui, je me souviens. (Acte 1, scène 1, RICHARD)
  21. Et de voir notre commandant si sévère, et même dur dans le service, parler de la sorte, ça nous remuait les entrailles. (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  22. Je le suivais, avec l'enfant sur mes bras... (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  23. Le pauvre homme ! (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  24. Il arriva que sa femme était morte, et que son propre enfant, une fille, presque en même temps, était morte. (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  25. Je le regardai ; je vis que son coeur éclatait ; les larmes lui sortirent des yeux, - et il s'appuya sur mon épaule ! (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  26. Alors, il se mit à aimer sa petite Smilis, qui eut d'amour une double ration, - sans parler de la mienne, - et ça a duré toujours comme ça. (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  27. Ici même, aujourd'hui, elle en a un si joli, en soie, tout bleu et blanc, un vrai berceau de fille d'Amiral !... (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  28. En s'endormant, elle peut se donner du roulis comme à bord d'un bateau, et ça lui plaît .. (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  29. Et pour moi, je n'ai jamais pu entendre réciter les litanies de la bonne Vierge Marie, sans penser que c'est elle, Smilis, notre petite étoile de la mer. (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  30. Moi, monsieur, ça me serait égal ; je porte gaillardement ma soixantaine, et je suis comme l'Amiral, solide à la barre. (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  31. Son père, qui nous commandait, - car il a chassé de race, l'homme ! - l'avait amené à bord ; il jouait avec les matelots ; on vous l'avait habillé, par amusement, en matelot, oui, avec la veste, le tricot rayé, la cravate lâche, le chapeau luisant, même le petit couteau suspendu par l'anneau à la ceinture... (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  32. Et ça me faisait suer ! (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  33. Ça me mettait en colère ! (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  34. Ça me semblait une moquerie pour les vrais matelots, qui ne sont pas toujours heureux !... (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  35. Et puis, je n'avais pas le coeur à rire : j'avais le mal du pays ; je pensais à mon village, un fameux petit port, plein de bateaux, les jours de mistral... (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  36. Comment s'appelle-t-il, ton village ? (Acte 1, scène 1, RICHARD)
  37. Oui, qu'il venait jouer, le gamin, avec les matelots ; ça leur plaisait, mais moi, n'ayant pas le coeur à la gaîté, un 1 eau jour, je vous l'envoyai crânement au diable ! (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  38. Le lendemain, après ça, il s'en vint et me dit de sa voix clairette : « Matelot, huit jours de congé ! (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  39. Va-t'en voir ta maman, et, quand - tu reviendras, tâche, matelot, d'avoir meilleur courage ! » (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  40. Bref, il n'avait pas trouvé ça tout seul, mais voici : il avait raconté au père comment je l'avais reçu avec ma politesse ; et son brave homme de père lui avait expliqué que j'étais neuf dans le métier, triste d'avoir quitté mon endroit. (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  41. Et le père lui avait appris ces quatre paroles : « Matelot, huit jours de congé ; va-t'en voir ta maman ; et quand tu reviendras, tâche, matelot, d'avoir meilleur courage ! » (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  42. Et voilà pourquoi l'Amiral me ferait « faire l'arbre droit », comme on dit chez nous ! (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  43. Il y a des fois où ça me fait l'effet que nous ressemblons à nos deux gros chiens de terre-neuve. (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  44. C'est fort comme des loups, ces animaux-là, et quand la petite maîtresse leur dit : « À l'eau ! » (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  45. Ça se jette net à la mer, pour rapporter quoi ?... (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  46. depuis longtemps, mon service a bien changé de figure ; et malgré ma tenue (une vieille habitude, dont je ne veux pas me défaire !) il n'y a plus ici de matelot ni de second-maître depuis longtemps. (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  47. Deux hommes ! (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  48. Nous disions quelquefois : « Il faudrait une femme », mais nous nous en sommes passés !... (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  49. Nous avions surtout peur, dans les commencements, de lui donner des airs de petit garçon, de trop l'habituer à la vie de marin pour une fille ; mais nous avions compté sans le diable ! (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  50. Moi, d'abord, je n'ai plus osé jurer comme il m'arrivait. (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  51. L'Amiral a dit un jour : « La fumée l'ennuie, elle tousse quand on fume. » (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  52. À bord, les plus mauvais garnements pouvaient se raconter entre eux des farces un peu fortes... (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  53. Si on voyait le petit ange du bateau approcher, va te promener ! (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  54. Le silence prenait tous les mal embouchés comme un enchantement,et les grosses voix se faisaient douces pour la petite demoiselle :... (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  55. Ça ne me regarde pas... (Acte 1, scène 1, MARTIN)
  56. Comment tant pis ! (Acte 1, scène 1, RICHARD)
  57. Martin a compris comme j'en aurais été fâché Richard. (Acte 1, scène 3, L'AMIRAL)
  58. Tu as raison, on ne peut pas oublier le seul ami de la jeunesse, le premier compagnon d'études et de voyages, le frère d'armes des premiers combats. (Acte 1, scène 3, RICHARD)
  59. Nous avons eu vingt ans ensemble, et, vois-tu, les amitiés nées dans l'âge mûr peuvent être aussi sûres : elles n'ont pas, comme la nôtre, le pouvoir magique d'évoquer tout entière la jeunesse ! (Acte 1, scène 3, L'AMIRAL)
  60. Je recommence la vie ; nous sommes des écoliers, puisque te voilà ! (Acte 1, scène 3, L'AMIRAL)
  61. Nous ne nous sommes jamais quittés, nous n'avons pas souffert, nous allons faire de beaux projets d'avenir, puisque te voilà, toi, avec qui hier je jouais aux barres ! (Acte 1, scène 3, L'AMIRAL)
  62. Pour que je sois malade, il me faut des balles dans le corps, ou des chutes à me rompre les bras. (Acte 1, scène 3, L'AMIRAL)
  63. Un marin comme nous. (Acte 1, scène 3, L'AMIRAL)
  64. Il doit me rejoindre avant trois jours. (Acte 1, scène 3, RICHARD)
  65. Oui, il est charmant, et nous nous entendrons à merveille, pourvu que je lui obéisse exactement ! (Acte 1, scène 3, RICHARD)
  66. C'est son père aussi, ce brave homme ! (Acte 1, scène 3, L'AMIRAL)
  67. Sais-tu que je meurs d'envie de la voir, ta perle d'Orient. (Acte 1, scène 3, RICHARD)
  68. Heureux homme, qui trouves moyen d'enlever de jeunes Grecques au beau milieu d'une tournée hydrographique !... (Acte 1, scène 3, RICHARD)
  69. C'est le même jour, à l'heure même où je recueillais l'orpheline, que ma femme et mon enfant avaient expiré. (Acte 1, scène 3, L'AMIRAL)
  70. À mesure que l'enfant grandit, il me semble retrouver la jeune femme que je n'ai pas eu le temps de chérir. (Acte 1, scène 3, L'AMIRAL)
  71. Quel charme enfantin et virginal ! (Acte 1, scène 3, L'AMIRAL)
  72. Naturellement, (se levant.) Ah çà ! (Acte 1, scène 3, L'AMIRAL)
  73. Pas précisément ! (Acte 1, scène 3, L'AMIRAL)
  74. Pour l'apaiser, il me vint une idée... (Acte 1, scène 3, L'AMIRAL)
  75. Il se trouva qu'un jeune enseigne avait un Homère, et c'est en lisant à la petite vingt vers de l'Iliade, que je parvins à la calmer, puis à l'endormir ! (Acte 1, scène 3, L'AMIRAL)
  76. Il faut croire qu'en dépit de mon mauvais accent, elle retrouvait dans les vers antiques quelques-unes des sonorités familières et comme un souvenir de la parole maternelle ! (Acte 1, scène 3, L'AMIRAL)
  77. Rien à me dire !... (Acte 1, scène 3, L'AMIRAL)
  78. Je suis sûr que tu as des milliers de choses à me dire !... (Acte 1, scène 3, L'AMIRAL)
  79. En me parlant de la Grèce, tout le monde s'est amusé à mu taquiner... (Acte 1, scène 4, SMILIS)
  80. Vous le promettez ? (Acte 1, scène 4, SMILIS)
  81. Et comment y répondre ? (Acte 1, scène 4, RICHARD)
  82. Je m'engage seulement à être toujours votre allié, en toute occasion... (Acte 1, scène 4, RICHARD)
  83. J'en meurs d'envie. (Acte 1, scène 4, RICHARD)
  84. Alors, il fallait commencer par là. (Acte 1, scène 4, SMILIS)
  85. Heureux homme ! (Acte 1, scène 4, RICHARD)
  86. Nous allons fumer... (Acte 1, scène 4, L'AMIRAL)
  87. N'est-ce pas, messieurs ? (Acte 1, scène 4, L'AMIRAL)
  88. Certainement, Amiral. (Acte 1, scène 4, ALBERT)
  89. Comment ! (Acte 1, scène 4, MADAME NERVAL)
  90. Tout le mal du siècle vient de là : les hommes fument et les femmes s'ennuient. (Acte 1, scène 5, MADAME D'ORIGNY)
  91. Et dire que le gouvernement protège cela et qu'il en tire un bénéfice ! (Acte 1, scène 5, MADAME NERVAL)
  92. Il lui manque un certain je ne sais quoi mystérieux et inexprimable que la couturière ne met pas dans les garnitures, une façon de porter que le professeur de danse et de maintien ignore, la grâce de la vraie femme... (Acte 1, scène 5, MADAME DE NANCEY)
  93. Assurément, il n'y a rien d'irrémédiable à cet âge ! (Acte 1, scène 5, MADAME DE NANCEY)
  94. L'Amiral est un homme remarquable. (Acte 1, scène 5, MADAME NERVAL)
  95. Venez-vous, Mesdames ? (Acte 1, scène 5, MADAME NERVAL)
  96. Assurément !... (Acte 1, scène 6, MADAME DE NANCEY)
  97. Et cet immense amour de cet homme pour cette petite, est-ce que cela vous paraît naturel ?... (Acte 1, scène 6, MADAME DE NANCEY)
  98. L'innocence même ! (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  99. Elle joue avec les garçons, comme une fillette aux Tuileries ! (Acte 1, scène 8, RICHARD)
  100. Comment ! (Acte 1, scène 8, RICHARD)
  101. Pourquoi crois-tu que je me suis fait mondain, cette année ? (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  102. Écoute-moi,tu vas me comprendre... (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  103. - Vais-je parler sans que tu me comprennes ? (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  104. Mon vieil ami, c'est une chose regrettable d'avoir un coeur affectueux, fait pour la tendresse et le dévouement, mais quand on l'a ainsi fait, comment échapper à soi-même ? (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  105. C'est au hasard qu'on livre son enfant, la chair de sa chair, ou, mieux encore, l'âme de son âme, à quelqu'un de ces jeunes étourdis qu'émeut sa jeunesse, et qui prend le battement du sang dans les veines pour la palpitation d'un coeur aimant. (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  106. Que me chantes-tu là ! (Acte 1, scène 8, RICHARD)
  107. J'envie au premier venu le droit qu'il a sur mon enfant, sur mon amour, sur moi-même ! (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  108. Tous ces jeunes hommes, est-ce que je les connais, moi ? (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  109. Je n'ai jamais voulu me séparer d'elle, la confier à des femmes, au couvent, à Dieu ! (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  110. C'était donc pour la livrer à quelqu'un de ces inconnus dont le plus aimable est trop jeune pour savoir vraiment s'il est honnête homme ? (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  111. Tu as peur de l'aimer ! (Acte 1, scène 8, RICHARD)
  112. Je t'appelle à me comprendre, et du premier coup tu vas... (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  113. Je suis un maladroit : je n'entends rien à tes subtilités de sentiment : je suis un homme sans femme, sans enfant, mais quand tu te seras expliqué... (Acte 1, scène 8, RICHARD)
  114. J'ai de ça tout de même, et je comprendrai, et, si je peux, je t'aiderai. (Acte 1, scène 8, RICHARD)
  115. Je t'ai tout d'abord expliqué d'un mot mon sentiment - la paternité jalouse !... (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  116. Son âme est née de mes soins, de ma pensée, de mon âme ! (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  117. Mais ce que je ne peux pas te dire d'un mot, c'est la violence de mon sentiment ! (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  118. Comment ! (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  119. Il faut que je la prenne par la main et que moi-même je la livre à un maître ! (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  120. À plus forte raison serons-nous à jamais séparés, puisqu'elle ne me doit aucun amour filial, rien, que la reconnaissance qu'on a pour un père nourricier, un parrain, un bienfaiteur... (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  121. Je ne suis pas encore fou, Dieu merci ! (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  122. Et c'est m'accuser de folie que de me dire : « Tu l'aimes ! » (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  123. Je l'aime... (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  124. Je l'aime... (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  125. Permets... (Acte 1, scène 8, RICHARD)
  126. Oui, certes, je l'aime ; mais non pas d'amour. (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  127. L'amour des amoureux n'est qu'un égoïsme... (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  128. Je l'aime moi, pour elle, entends- tu, pour elle : pour faire son bonheur... (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  129. Je ne vois pas clairement ce que tu me dis. (Acte 1, scène 8, RICHARD)
  130. À ta place, je n'aurais pas reçu du tout, si j'avais jugé que le moment n'est pas venu encore de marier l'enfant. (Acte 1, scène 8, RICHARD)
  131. Ne comprends-tu pas que je me méfie de moi-même ? (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  132. Si l'un d'eux osait me la demander !... (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  133. Je me dis que si le coeur de l'enfant s'éveille et parle, le pauvre père devra consentir... (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  134. Et cependant, c'est le bel âge pour aimer. (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  135. Depuis quelque temps, je me méfiais !... (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  136. Oui, ce jeune homme ? (Acte 1, scène 8, RICHARD)
  137. Qui t'a demandé si vraiment tu pars demain ? (Acte 1, scène 8, RICHARD)
  138. Qu'est-ce que cette dame ? (Acte 1, scène 8, RICHARD)
  139. Une brave femme... (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  140. Malheureusement... (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  141. Il a débuté comme avocat ; pas brillant, mais doué, dit-on, d'excellentes qualités. (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  142. Ne me dis pas ça ! (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  143. Richard, on va me la demander, je le sens ! (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  144. Ne me quitte pas ! (Acte 1, scène 8, L'AMIRAL)
  145. Le voilà, Madame ! (Acte 1, scène 9, MARTIN)
  146. Amiral, j'apprends que vous partez demain : je n'ai donc pas le choix du moment, et puisque nous voici dans un petit coin bien solitaire... (Acte 1, scène 9, MADAME NERVAL)
  147. En ce qui me concerne, Madame, je n'ai pas de secrets pour mon vieil ami, pour mon frère... (Acte 1, scène 9, L'AMIRAL)
  148. Je le sais, Amiral, et je n'ai dès_lors aucune raison pour me taire devant lui... (Acte 1, scène 9, MADAME NERVAL)
  149. Madame, je vais l'interroger. (Acte 1, scène 10, L'AMIRAL)
  150. Monsieur_Albert_Nerval me demande ta main. (Acte 1, scène 10, L'AMIRAL)
  151. Il n'aura donc jamais fini de me taquiner ! (Acte 1, scène 10, SMILIS)
  152. Il me tourmente toujours ! (Acte 1, scène 10, SMILIS)
  153. Nous serions mari et femme ? (Acte 1, scène 10, SMILIS)
  154. Et, comme je l'ai entendu dire à Madame, je devrais obéissance à mon mari, c'est-à-dire à Monsieur_Albert ? (Acte 1, scène 10, SMILIS)
  155. Je ne suis pas un jeune homme, moi, je peux te manquer d'un moment à l'autre ; il te faut pour l'avenir un protecteur, un mari, un brave jeune homme comme Monsieur_Nerval, qui t'emmènera loin de moi, - pas trop loin, - où il voudra !... (Acte 1, scène 10, L'AMIRAL)
  156. Nous sommes de vieilles gens, un peu grognons, Martin et moi ; il est juste que nous te laissions faire ta vie. (Acte 1, scène 10, L'AMIRAL)
  157. J'aime mieux vous obéir à vous,... (Acte 1, scène 10, SMILIS)
  158. Comme je l'entends ! (Acte 1, scène 10, SMILIS)
  159. Je suis très heureuse ici, quand vous n'avez pas une vilaine figure triste, comme en ce moment ! (Acte 1, scène 10, SMILIS)
  160. J'aime trop la nôtre, et je ne veux pas d'autre mari - que vous ! (Acte 1, scène 10, SMILIS)
  161. Permettez-moi de croire encore, Amiral, que cette parole d'enfant n'est pas la ruine des espérances de mon fils ; il en serait vraiment trop malheureux. (Acte 1, scène 10, MADAME NERVAL)
  162. Eh bien, Madame, nous verrons ! (Acte 1, scène 10, L'AMIRAL)
  163. C'est le meilleur des hommes !... (Acte 2, scène 1, RICHARD)
  164. Il n'y a pas un mois que je le connais et je le tiens en effet, mon oncle, pour le meilleur et le plus distingué des hommes !... (Acte 2, scène 1, GEORGES)
  165. Demande donc à l'Amiral de prendre ton neveu pour son aide_de_camp à la préfecture_maritime. (Acte 2, scène 1, L'OFFICIER)
  166. Le ministre sort d'ici ; il est resté cinq_minutes : le temps d'annoncer à Kerguen qu'il l'a nommé préfet_maritime à Toulon. (Acte 2, scène 1, RICHARD)
  167. N'est-ce pas, Messieurs, qu'elle est charmante, la mariée ? (Acte 2, scène 1, L'OFFICIER)
  168. Et d'un charme bien singulier ! (Acte 2, scène 1, GEORGES)
  169. Et c'est justement ce qui a fait son charme !... (Acte 2, scène 1, L'OFFICIER)
  170. Gardée religieusement, elle n'a subi aucune des banales empreintes du monde ! (Acte 2, scène 1, L'OFFICIER)
  171. Un jeune homme, c'est charmant, mais ce vieux est superbe ! (Acte 2, scène 2, L'OFFICIER)
  172. Merci, mes amis, merci. (Acte 2, scène 2, L'AMIRAL)
  173. J'avais pensé, Smilis, à orner notre maison aujourd'hui de fleurs suaves et fraîches comme toi, mais chacun de nos amis a eu la même pensée : t'en offrir à profusion ! (Acte 2, scène 2, L'AMIRAL)
  174. Ce n'est pas un bouquet, c'est une corbeille, que chacun d'eux t'a envoyée, et, - ils me l'ont dit, - sans s'être consultés entre eux ! (Acte 2, scène 2, L'AMIRAL)
  175. N'est-ce pas, mes amis ? (Acte 2, scène 2, L'AMIRAL)
  176. Vous avez voulu lui dire cela, lui dire qu'elle est comme leur petite reine blanche ?... (Acte 2, scène 2, L'AMIRAL)
  177. Il fallait, aujourd'hui, que son peuple vint au-devant d'elle, et c'est pourquoi ma maison tout entière a fleuri comme un printemps !... (Acte 2, scène 2, L'AMIRAL)
  178. Je suis bien heureux, mes amis, et je me sens venir au coeur la jeunesse de ce printemps qu'elle fait naître autour d'elle et que vous avez mis sous ses pas... (Acte 2, scène 2, L'AMIRAL)
  179. Toutes ces choses que vous dites me rendent un peu confuse, et je ne sais plus que dire moi-même pour les remercier. (Acte 2, scène 2, SMILIS)
  180. Je crois vraiment qu'elle a de l'amour pour lui !... (Acte 2, scène 2, L'OFFICIER)
  181. Madame, comme je vous remercie !... (Acte 2, scène 2, SMILIS)
  182. Une fois encore, tes vieux compagnons d'armes veulent serrer ta main et dire aux deux époux leurs souhaits de bonheur... (Acte 2, scène 2, RICHARD)
  183. Toi, je voulais presser ta main juste à ce moment ; je suis à l'apogée de la joie : mon coeur éclate ! (Acte 2, scène 2, L'AMIRAL)
  184. Mais je ne t'ai pas félicité du cadeau de noces que t'a fait notre ami, le ministre : préfet_maritime à Toulon !... (Acte 2, scène 2, RICHARD)
  185. Quelle bonne vie nous allons mener ! (Acte 2, scène 2, L'AMIRAL)
  186. J'aime tant le beau soleil et la mer, et les pins qui descendent jusqu'au bord de l'eau !... (Acte 2, scène 2, SMILIS)
  187. Vous savez qu'il y a là-bas comme en Grèce des lauriers-roses sauvages, dans le lit des torrents !... (Acte 2, scène 2, SMILIS)
  188. Aimez-vous la Provence, monsieur ? (Acte 2, scène 2, SMILIS)
  189. Comme votre pays, comme la Grèce, où j'ai passé plusieurs mois. (Acte 2, scène 2, GEORGES)
  190. Comme la Grèce ! (Acte 2, scène 2, SMILIS)
  191. J'y ai pensé au moment même où le ministre m'a annoncé ma nomination. (Acte 2, scène 2, L'AMIRAL)
  192. Je l'ai demandé comme officier de choix et l'un de mes aides de camp à la Préfecture. (Acte 2, scène 2, L'AMIRAL)
  193. Georges, remercie l'Amiral-préfet, tu es son aide de camp ! (Acte 2, scène 2, RICHARD)
  194. Merci trois fois, Amiral ! (Acte 2, scène 2, GEORGES)
  195. En aucun cas, ne pars sans me revoir ! (Acte 2, scène 2, L'AMIRAL)
  196. Amiral, puis-je me retirer ? (Acte 2, scène 4, MARTIN)
  197. Vous êtes comme mes deux enfants et tout mon coeur vous bénit ! (Acte 2, scène 4, MARTIN)
  198. Tous ces jeunes gens, voyez-vous, ça me faisait peur quelquefois, mais souvent ça me faisait rire !... (Acte 2, scène 4, MARTIN)
  199. M'aimez-vous bien, dites ?... (Acte 2, scène 5, L'AMIRAL)
  200. Et pourquoi me demandez-vous si je vous aime, le jour où, par la cérémonie du mariage, je vous appartiens pour toujours, sans que personne puisse me reprendre à vous ? (Acte 2, scène 5, SMILIS)
  201. Depuis longtemps j'avais pensé : je ne veux pas me séparer de lui ; c'est ma destinée de lui appartenir ; je ne le quitterai jamais ! (Acte 2, scène 5, SMILIS)
  202. Voyez-vous, je vous aurais toujours aimé, sans devenir votre femme ! (Acte 2, scène 5, SMILIS)
  203. Ma vie est en vous, vous êtes mon âme. (Acte 2, scène 5, L'AMIRAL)
  204. Si vous m'aviez laissé pour un autre, si vous vous étiez retirée de moi, c'est donc mon âme qui m'eût quitté, et votre départ eût fait ma mort... (Acte 2, scène 5, L'AMIRAL)
  205. Et à présent, tu vas me donner la vie, la vie enchantée par la tendresse et par la beauté... (Acte 2, scène 5, L'AMIRAL)
  206. Quand vous me dites vous, je ne sais ce que j'éprouve ! (Acte 2, scène 5, SMILIS)
  207. C'est comme un regret... (Acte 2, scène 5, SMILIS)
  208. comme si vous vous éloigniez de moi tout à coup... (Acte 2, scène 5, SMILIS)
  209. comme si je l'avais mérité ! (Acte 2, scène 5, SMILIS)
  210. Il vient de me sembler tout à coup que vous n'êtes plus le même pour moi ! (Acte 2, scène 5, SMILIS)
  211. Certainement, vous me disiez tous les jours les mêmes choses, mais autrement, plus doucement ; vous m'avez dit souvent que j'étais jolie, mais vous me faisiez un mérite plus grand des qualités que vous formiez chaque jour vous-même dans mon coeur et dans mon esprit. (Acte 2, scène 5, SMILIS)
  212. Vous me répétiez bien souvent que vous les préfériez à tout pour moi, et chacune de vos paroles était toujours également tendre, calme, - paisible... (Acte 2, scène 5, SMILIS)
  213. Et à présent, vous me paraissez tout changé, et je ne sais pourquoi cela m'étonne et me donne envie de pleurer. (Acte 2, scène 5, SMILIS)
  214. Tout le monde ne vous a-t-il pas appelée : Madame ?... (Acte 2, scène 5, L'AMIRAL)
  215. Vous voyez bien qu'il y a un changement ! (Acte 2, scène 5, L'AMIRAL)
  216. - Vous êtes ma femme !... (Acte 2, scène 5, L'AMIRAL)
  217. Savez-vous ce que cela veut dire, être une femme ?... (Acte 2, scène 5, L'AMIRAL)
  218. J'étais belle comme ce soir. (Acte 2, scène 5, SMILIS)
  219. Votre affection pour moi, depuis mon enfance, et la mienne pour vous, aussi grande que la vôtre, sont consacrées devant les hommes, devant Dieu, - et la jeune fille est devenue une femme... (Acte 2, scène 5, SMILIS)
  220. Pourquoi me dire tant de si jolies choses ? (Acte 2, scène 5, SMILIS)
  221. Non, je ne suis qu'une petite fille, - une petite femme ! - qui vous a fait souvent gronder un peu ! (Acte 2, scène 5, SMILIS)
  222. De votre candeur, comme en a souri dans sa joie le prêtre qui vous écoutait. (Acte 2, scène 5, L'AMIRAL)
  223. Je ne veux pas que vous me disiez vous ! (Acte 2, scène 5, SMILIS)
  224. Comment vous ai-je fâché ? (Acte 2, scène 5, SMILIS)
  225. Est-ce parce que je vous ai dit que je ne peux vous aimer davantage ? (Acte 2, scène 5, SMILIS)
  226. Mais vous-même, comment ferez-vous, répondez-moi,pour changer de coeur aujourd'hui et m'aimer autrement et mieux que par le passé, puisque déjà vous êtes tout pour moi ! (Acte 2, scène 5, SMILIS)
  227. Rappelez-vous ce jour, - je n'avais pourtant que six ans, - où une dame, un peu maladroite, dit devant moi, en me plaignant : « Ces enfants élevés sans mère sont destinés au malheur. (Acte 2, scène 5, SMILIS)
  228. » Et moi, à qui rien ne manquait près de vous, je pris très haut la parole, du coin sombre où je m'amusais et je dis : « Madame, il est aussi ma mère ! » (Acte 2, scène 5, SMILIS)
  229. Je me souviens ! (Acte 2, scène 5, L'AMIRAL)
  230. Je me souviens ! (Acte 2, scène 5, L'AMIRAL)
  231. Et pourtant, j'étais déjà grande, quand vous m'avez trouvée sur le bord de la mer... (Acte 2, scène 5, SMILIS)
  232. Je tremblais la fièvre, je frissonnais au vent de mer entre vos bras et vous me disiez : « Nous trouverons en France une petite soeur. » (Acte 2, scène 5, SMILIS)
  233. Mes instructions ? (Acte 2, scène 7, L'AMIRAL)
  234. Tu m'as dit tout à l'heure que tu aurais des ordres à me donner. (Acte 2, scène 7, RICHARD)
  235. Tu m'as recommandé, comme en service, de ne pas partir sans te voir... (Acte 2, scène 7, RICHARD)
  236. Et comment dire ce que j'éprouve ? (Acte 2, scène 7, L'AMIRAL)
  237. - Il me semble que je viens de traverser, en songe, un fleuve mystérieux et terrible ! (Acte 2, scène 7, L'AMIRAL)
  238. Me voici sur l'autre rive... (Acte 2, scène 7, L'AMIRAL)
  239. Tu me dis en effet des choses effrayantes ! (Acte 2, scène 7, RICHARD)
  240. - Aucune des volontés de l'époux n'arrivait au coeur de la femme ! (Acte 2, scène 7, L'AMIRAL)
  241. La petite âme, à peine en fleurs, toute tremblante, à chaque fois que j'y touchais, laissait tomber sur moi des candeurs et des puretés ! (Acte 2, scène 7, L'AMIRAL)
  242. - le deuil pâle des jeunesses qui meurent vierges ! (Acte 2, scène 7, L'AMIRAL)
  243. Que me dis-tu là ? (Acte 2, scène 7, RICHARD)
  244. comme tout à coup j'ai senti que je suis son père et que je ne pourrai jamais chuchoter à son oreille des paroles d'époux !... (Acte 2, scène 7, L'AMIRAL)
  245. Ce que tu m'apprends là si brusquement me confond, mais surtout ton désespoir, qui m'effraie, me semble immodéré ; je ne le conçois pas encore. (Acte 2, scène 7, RICHARD)
  246. Il y a beaucoup de ces mariages qui parurent d'abord un peu disproportionnés et qu'on a pu juger par la suite vraiment réussis, fort heureux ! (Acte 2, scène 7, RICHARD)
  247. Un seul jour amènera bien des changements. (Acte 2, scène 7, RICHARD)
  248. Il n'est pas un de nous qui ne connaisse un homme de ton âge fort heureux d'avoir épousé une jeune fille de l'âge de Smilis. (Acte 2, scène 7, RICHARD)
  249. Mais celui-là ne l'avait pas tenue toute petite et bercée entre ses bras ; il ne l'avait pas appelée Louise, du nom de sa fille morte ; il n'avait pas, le soir, sur le bord du berceau, tenu ses mignonnes mains jointes pour la prière sur sa petite poitrine d'enfant ; il n'avait pas formé son tendre esprit à l'obéissance confiante et absolue ; il n'avait pas veillé quinze ans sur l'ignorance de son coeur, comme pour en abuser !... (Acte 2, scène 7, L'AMIRAL)
  250. Mais toi, tu aurais pu me sauver de moi-même. (Acte 2, scène 7, L'AMIRAL)
  251. Il fallait me conseiller, me brutaliser, m'éclairer. (Acte 2, scène 7, L'AMIRAL)
  252. Ne l'ai-je pas fait, d'ailleurs, quand tu as paru seulement me soupçonner de penser au mariage !... (Acte 2, scène 7, L'AMIRAL)
  253. Tes soupçons même m'ont encouragé, car tout chemin conduit où veut aller la passion ! (Acte 2, scène 7, L'AMIRAL)
  254. Je me disais : « Puisqu'on y pense, c'est donc possible ! » (Acte 2, scène 7, L'AMIRAL)
  255. Des raisonnements imbéciles m'ont bourdonné aux oreilles pendant vingt jours, le temps de la prendre pour femme... (Acte 2, scène 7, L'AMIRAL)
  256. Il aura suffi d'un sentiment pour tuer ton courage ! (Acte 2, scène 7, RICHARD)
  257. Une fillette, avec deux paroles, peut renverser un homme de ta taille ! (Acte 2, scène 7, RICHARD)
  258. Souviens-toi qu'un marin doit avoir la force d'âme... (Acte 2, scène 7, RICHARD)
  259. l'héroïsme en habitude ! (Acte 2, scène 7, RICHARD)
  260. L'enfant le regarda tout le jour tristement, et, le soir, elle ouvrit la cage, elle prit dans sa main l'oiseau qui frémissait et le couvrit de baisers : « Je t'aime, je t'aime, » lui disait-elle, « et je voudrais bien te garder près de moi, dans ma chambre, où tu chanterais pour moi seule, pour moi toute seule ! (Acte 2, scène 7, L'AMIRAL)
  261. Messieurs, on m'annonce que l'escadre doit rentrer demain. (Acte 3, scène 1, L'AMIRAL)
  262. Vous, Monsieur, priez Monsieur le Commissaire_général de venir me parler ; nous aurons des dispositions à prendre pour le ravitaillement de l'escadre. (Acte 3, scène 1, L'AMIRAL)
  263. Et vous, Monsieur, avertissez Monsieur_Reynal, le directeur_du_Service_de_Santé, qu'il avise à recevoir vingt hommes malades. (Acte 3, scène 1, L'AMIRAL)
  264. Comment ! (Acte 3, scène 2, L'AMIRAL)
  265. Mais j'ai à transmettre moi-même quelques ordres essentiels... (Acte 3, scène 2, L'AMIRAL)
  266. Je sors un instant et je m'informerai... (Acte 3, scène 2, L'AMIRAL)
  267. Depuis quelques jours tu me parais manquer souvent de mémoire ! (Acte 3, scène 2, L'AMIRAL)
  268. Comme ça, c'est moi qui suis chargé de l'installer ici, le jeune homme !... (Acte 3, scène 3, MARTIN)
  269. Depuis que nous sommes à Toulon, ici, à la préfecture... (Acte 3, scène 3, MARTIN)
  270. C'est un brave jeune homme,c'est vrai, et il ne peut pas me venir dans la tête qu'il ait une mauvaise pensée, mais si j'étais l'Amiral, je vous lui ferais signer tout de même un bon ordre d'embarquement pour tout là-bas... (Acte 3, scène 3, MARTIN)
  271. Nous sommes deux à l'aimer, mon idée est que nous sommes assez... (Acte 3, scène 3, MARTIN)
  272. Nous sommes deux, nous sommes assez, c'est mon idée ! (Acte 3, scène 3, MARTIN)
  273. Une bourse qu'on tricote apparemment pour Monsieur_Georges ! (Acte 3, scène 3, MARTIN)
  274. Est-ce qu'on sait seulement ce qu'elle en a fait ! (Acte 3, scène 3, MARTIN)
  275. Dame !... (Acte 3, scène 3, MARTIN)
  276. Je m'étais fié aux gens du bagne qui me l'avaient vendue comme une bourse... (Acte 3, scène 3, MARTIN)
  277. Je t'ai bien dit de ne jamais toucher à mes ouvrages ! (Acte 3, scène 4, SMILIS)
  278. Ça me connaît... (Acte 3, scène 4, MARTIN)
  279. ça me connaît ! (Acte 3, scène 4, MARTIN)
  280. - Au lieu de tout déranger ici, tu ferais mieux d'aller voir si le maître d'hôtel fait bien les choses comme je les ai commandées. (Acte 3, scène 4, SMILIS)
  281. Est-ce qu'il va faire comme toi, qui n'es plus jamais content ? (Acte 3, scène 4, SMILIS)
  282. Je n'ai donc plus assez d'esprit pour répéter les ordres qu'on me donne, moi ? (Acte 3, scène 4, MARTIN)
  283. Je fais comme les autres, v.7 (Acte 3, scène 4, SMILIS)
  284. J'aime mieux m'en aller, moi, que d'entendre les chansons des autres ! (Acte 3, scène 4, MARTIN)
  285. Madame, l'Amiral m'a fait dire de venir ici, et je pensais le trouver avec mon oncle... (Acte 3, scène 5, GEORGES)
  286. Une tristesse qui me prend quelquefois... (Acte 3, scène 5, SMILIS)
  287. Je cherche à me le figurer, la nuit, assise sur mon hamac... (Acte 3, scène 5, SMILIS)
  288. Je me berce, et cela me fait songer à la mer. (Acte 3, scène 5, SMILIS)
  289. - Elle ne m'a jamais semblé un obstacle qui me sépare des autres rivages, mais au contraire un large chemin bleu qui mène partout où je voudrais aller. (Acte 3, scène 5, SMILIS)
  290. Il me semble par moments que quelqu'un m'y attend ! (Acte 3, scène 5, SMILIS)
  291. je me cache quelquefois pour pleurer ! (Acte 3, scène 5, SMILIS)
  292. Le monde me déplaît à présent ; autrefois, à Paris, c'était bien différent ; oui, tout est bien changé autour de moi ! (Acte 3, scène 5, SMILIS)
  293. Martin lui-même n'a plus sa bonne humeur... (Acte 3, scène 5, SMILIS)
  294. Mais ce n'est plus la même chose... (Acte 3, scène 5, SMILIS)
  295. Ce n'est plus, comment dirai-je ? (Acte 3, scène 5, SMILIS)
  296. J'aime mieux ici, et pourtant j'étais plus joyeuse là-bas ! (Acte 3, scène 5, SMILIS)
  297. Je vais tâcher, du moins : - Je vous ai dit par exemple que je rêve souvent à mon pays, que je n'y pensais pas ainsi autrefois, et que c'est un chagrin tout nouveau pour moi de me dire : « Je ne le verrai peut-être jamais ! » (Acte 3, scène 5, SMILIS)
  298. Enfin, vous aimez votre tristesse ? (Acte 3, scène 5, GEORGES)
  299. Comme vous pénétrez bien jusqu'au fond de l'âme ! (Acte 3, scène 5, SMILIS)
  300. Oui, voilà peut-être ce qui fait que j'aime tant à être seule. (Acte 3, scène 5, SMILIS)
  301. Vous pensez toujours à tout ce qui peut me faire plaisir, aux livres, à la musique, à la promenade, et je me dis quelquefois : « Si Monsieur_Georges nous quittait ! (Acte 3, scène 5, SMILIS)
  302. Non, monsieur Georges, j'aime mieux causer, (Acte 3, scène 5, SMILIS)
  303. Est-ce que vous me quittez ? (Acte 3, scène 5, SMILIS)
  304. Vous me laisseriez à ma tristesse ? (Acte 3, scène 5, SMILIS)
  305. Je serais faible devant vos larmes. (Acte 3, scène 5, GEORGES)
  306. Les larmes, la faiblesse, cela est d'une femme, cela est d'une enfant comme moi... (Acte 3, scène 5, SMILIS)
  307. Je sais bien que la grande mer, - qui entoure ma patrie perdue, - n'a pas de meilleur soldat que vous ! (Acte 3, scène 5, SMILIS)
  308. Il peut quitter la préfecture, la marine même. (Acte 3, scène 5, GEORGES)
  309. Dites-lui de vous emmener, que vous le voulez... qu'il le faut ! (Acte 3, scène 5, GEORGES)
  310. Bonjour, mes enfants ! (Acte 3, scène 6, RICHARD)
  311. J'arrive un peu tard, madame ; je vous demande pardon... (Acte 3, scène 6, RICHARD)
  312. C'est moi qui écoute, Madame. (Acte 3, scène 6, RICHARD)
  313. Pas « Madame ! » (Acte 3, scène 6, SMILIS)
  314. Comment avez-vous passé tout ce temps-là ? (Acte 3, scène 6, RICHARD)
  315. Comme à Paris, la dernière année. (Acte 3, scène 6, SMILIS)
  316. Eh bien, s'il faut le dire, j'aimerais mieux naviguer ! (Acte 3, scène 6, SMILIS)
  317. Et l'Amiral, lui, est-ce qu'il aimerait mieux naviguer ?... (Acte 3, scène 6, RICHARD)
  318. Quand il ne travaille pas, alors, il est vraiment malade. (Acte 3, scène 6, SMILIS)
  319. Oui, et Monsieur_Georges s'y intéresse, mais Martin, qui doit mettre en ordre le laboratoire, n'est pas content du tout ; il dit que ça n'est pas son métier. (Acte 3, scène 6, SMILIS)
  320. Le métier d'un marin, c'est de courir les mers ! (Acte 3, scène 6, SMILIS)
  321. Comment ! (Acte 3, scène 6, SMILIS)
  322. Pas un homme à la mer, sauvé comme par miracle ! (Acte 3, scène 6, SMILIS)
  323. J'aime tant les récits de mer ! (Acte 3, scène 6, SMILIS)
  324. Quel beau métier que le vôtre, et quels braves gens que tous vos matelots, toujours en péril, et toujours de bonne humeur ! (Acte 3, scène 6, SMILIS)
  325. Savez-vous, commandant, ce qui me plaît le plus à bord ? (Acte 3, scène 6, SMILIS)
  326. Alors tout le monde se découvre ; tous les mouvements commencés s'arrêtent ; tous les regards s'élèvent, fixés sur le pavillon... (Acte 3, scène 6, SMILIS)
  327. Les couleurs descendent lentement le long du mât jusque sur le pont ; - et cela veut dire : encore un jour accompli ! (Acte 3, scène 6, SMILIS)
  328. Voilà pourtant des choses dont nous ne sommes plus émus, nous autres, à force de les voir. (Acte 3, scène 6, RICHARD)
  329. vous étiez si pressé de me quitter tout à l'heure quand j'étais toute seule ! (Acte 3, scène 6, SMILIS)
  330. Comment ! (Acte 3, scène 6, RICHARD)
  331. C'est donc vous le chef de gamelle ? (Acte 3, scène 7, RICHARD)
  332. Tout ici, Commandant, est sous mes ordres absolus... (Acte 3, scène 7, SMILIS)
  333. À nos postes, Messieurs ! (Acte 3, scène 7, SMILIS)
  334. Tu me comprends, mordieu ! (Acte 3, scène 9, RICHARD)
  335. Vous me faites injure, mon oncle. (Acte 3, scène 9, GEORGES)
  336. Oui, je suis sûr de toi ; mais un homme averti... (Acte 3, scène 9, RICHARD)
  337. Je m'étais averti moi-même... (Acte 3, scène 9, GEORGES)
  338. J'aime mieux encore avoir vu de mes yeux combien le doute seul t'offense ! (Acte 3, scène 9, RICHARD)
  339. Tenez, rassurez-vous entièrement, mon oncle ; il y a une chose que tout honnête homme doit s'imposer à lui-même : c'est le respect pour l'époux confiant... (Acte 3, scène 9, GEORGES)
  340. Il y a une chose, qui, d'elle-même, s'impose à tout le monde : c'est le respect pour une enfant sans défense ! (Acte 3, scène 9, GEORGES)
  341. Un commencement d'incendie... (Acte 3, scène 10, L'AMIRAL)
  342. Gravement ? (Acte 3, scène 10, RICHARD)
  343. Voilà de mes légendes ! (Acte 3, scène 10, GEORGES)
  344. Machinalement mes hommes reculent... (Acte 3, scène 10, GEORGES)
  345. Il a fallu une présence d'esprit, une possession de soi-même... (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  346. Que l'homme est un étrange animal ! (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  347. De combien de manières différentes il peut voir une même chose ! (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  348. Et, tu vois, la ferme raison a pris en moi le dessus !... (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  349. Nous arrivâmes ici peu de jours après le mariage. (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  350. J'étais parti avec mon commandement. (Acte 3, scène 11, RICHARD)
  351. Je me mis au travail, qui est la grande consolation... (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  352. Je ne veux pas laisser à mon esprit le temps de s'inquiéter sans mesure d'une situation qui, en fin de compte, ne peut pas être changée, n'est-ce pas ? (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  353. Ces mariages-là, quant aux apparences, sont assez communs, et personne ne songe à me reprocher le mien !... (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  354. Assurément ! (Acte 3, scène 11, RICHARD)
  355. Suppose qu'il me reste à vivre une dizaine d'années, car je ne suis après tout, moi, qu'un vieux soldat, fatigué par les campagnes, couvert de blessures, et puis, vois-tu, mon cher, le coeur est atteint, j'ai averti le docteur... (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  356. Eh bien, à vingt-six_ans, elle sera encore la plus délicieuse des créatures, et, de son apparent veuvage, elle aura gagné un charme de plus, voilà tout ! (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  357. N'est-ce pas ainsi que tu me voulais ? (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  358. J'aime entendre un homme parler ainsi ! (Acte 3, scène 11, RICHARD)
  359. Et tu ne t'inquiètes pas autrement ? (Acte 3, scène 11, RICHARD)
  360. Est-ce que, dans ton coeur, tu me désapprouves ? (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  361. voilà bien les hommes ! (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  362. Tu me croyais encore dans les affres de la passion, hein ? (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  363. Tu comptais me parler de l'héroïsme marin... de Navarin peut-être, et d'Aboukir !... (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  364. Comme si les combats de la guerre pouvaient se comparer aux luttes_intérieures ! (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  365. Désappointé en effet, dans mes prévisions, car je croyais te connaître, entêté comme un Breton que tu es, incapable de changer de ligne quand une fois tu as mis le cap sur une idée. (Acte 3, scène 11, RICHARD)
  366. Enfin, tu t'étonnes de me voir revenu à des idées raisonnables, aux sentiments moyens, en un mot ? (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  367. Tu m'aimais mieux autrement ? (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  368. L'homme est si étrange ! (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  369. Eh bien, je ne voudrais pas te voir revenir brusquement d'une exaltation inutile... (Acte 3, scène 11, RICHARD)
  370. Brusquement ? (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  371. Quand, mari d'une jeune femme, on prodigue, comme tu le fais, les soirées et les fêtes, quand on rassemble autour de soi... chez soi... (Acte 3, scène 11, RICHARD)
  372. Et voilà ce que tu me proposes ! (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  373. Voici les miennes : Smilis est demeurée la plus exquise, la plus naïve des enfants ! (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  374. Pas de fruit défendu visites, soirées, bals, promenades. (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  375. Cent jeunes hommes se coudoient dans mes salons. (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  376. Si elle n'en voyait aucun, le premier venu pourrait lui plaire, tandis qu'on ne peut pas trahir un vieux bonhomme de père comme moi ! (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  377. Oui, oui, j'entends, tu comptes sur l'innocence, sur la candeur, - et c'est bien ce qui me fait peur ! (Acte 3, scène 11, RICHARD)
  378. Elle aimera... avec candeur, voilà tout ! (Acte 3, scène 11, RICHARD)
  379. Il faut veiller, toujours veiller, par tous les temps, sur toutes les mers !... (Acte 3, scène 11, RICHARD)
  380. Comment peux-tu, toi, un marin pratique ?... (Acte 3, scène 11, RICHARD)
  381. Comment peux-tu, toi, un esprit rigoureux, discuter si longtemps, en vue d'un fait à venir, - trop possible hélas ! (Acte 3, scène 11, L'AMIRAL)
  382. Si j'ai cru pouvoir te parler ainsi, c'est que tu me l'avais permis. (Acte 3, scène 11, RICHARD)
  383. Je veux t'expliquer mes expériences, tu sais, qui intéressent la marine. (Acte 3, scène 12, L'AMIRAL)
  384. - Et puis, il avait bien 'besoin, ce jeune homme, d'éteindre à lui tout seul un incendie à bord ! (Acte 3, scène 13, MARTIN)
  385. La vareuse d'un homme avait pris feu, et il y avait là un petit baril de poudre à moitié ouvert... (Acte 3, scène 14, MARTIN)
  386. Ça a fait peur aux autres, parce que, sur le moment, c'est naturel, on ne réfléchit pas... (Acte 3, scène 14, MARTIN)
  387. Qu'y a-t-il, Madame ? (Acte 3, scène 15, GEORGES)
  388. Il n'y a véritablement pas là de quoi faire des embarras ! (Acte 3, scène 15, MARTIN)
  389. Monsieur_Georges est trop bon de souffrir si souvent vos boutades et votre mauvaise humeur. (Acte 3, scène 15, SMILIS)
  390. Comme si la chose se passait devant moi ! (Acte 3, scène 16, SMILIS)
  391. Cet homme, fou d'épouvante, les vêtements en feu !... (Acte 3, scène 16, SMILIS)
  392. moi, qui tout à l'heure encore me croyais si sûr de moi-même !... (Acte 3, scène 17, GEORGES)
  393. Si j'étais libre de vous quitter, ce serait fait ; mais mon devoir d'officier m'attache à vos côtés ; vous seul pouvez me délier... (Acte 3, scène 18, GEORGES)
  394. Amiral, on n'est pas maître de ses sentiments... (Acte 3, scène 18, GEORGES)
  395. J'aime votre femme ! (Acte 3, scène 18, GEORGES)
  396. Monsieur le lieutenant de vaisseau, vous irez à cinq_heures à l'état-major de la flotte, vous transmettrez les ordres pour demain, tels que nous les avons réglés... (Acte 3, scène 18, L'AMIRAL)
  397. Le pavillon Amiral flottera sur l'Atalante, où se trouve l'Amiral Clément... (Acte 3, scène 18, L'AMIRAL)
  398. J'accepte pour demain l'invitation de l'Amiral et je me rendrai à son bord, accompagné du commandant Richard et de vous... (Acte 3, scène 18, L'AMIRAL)
  399. Hélas ! Tu me l'as endormi, v.28 (Acte 4, scène 1, SMILIS)
  400. Vous en parliez assez souvent, autrefois, des bois, des fleurs, de la mer !... (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  401. La voilà, la mer, et le reste ! (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  402. Et Dieu merci, c'est assez joli Et, elle est assez près, la mer !... (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  403. Et à une belle hauteur Tellement qu'on se croirait dans le royaume du père La Lune, autrement dit le haut de la mâture ! (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  404. Celle-là, c'est toi qui me l'as apprise. (Acte 4, scène 1, SMILIS)
  405. Il y a des moments où les chansons deviennent plus tristes, parce qu'elles semblent se rapporter aux gens qui les disent... (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  406. Votre santé inquiète l'Amiral ; moi, la sienne aussi me tourmente ! (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  407. Depuis plus d'un mois que nous sommes à la campagne, vous êtes là tous deux à regarder la mer comme des gens à qui elle a tout pris, et qui attendent sur le bord un bateau qui ne reviendra jamais !... (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  408. Voilà pourquoi je n'aime pas vos chansons ! (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  409. Voilà que tu me reprends mes chansons, à présent. (Acte 4, scène 1, SMILIS)
  410. Le bon Dieu m'est témoin que je me jetterais à la mer pour vous aller pêcher les étoiles !... (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  411. C'est vrai, Martin ; aussi, je t'aime !... (Acte 4, scène 1, SMILIS)
  412. Le voilà, le mot qui fait tout faire... même les grosses bêtises. (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  413. Tenez, quand on est jeune, on croit que c'est difficile de mourir et même impossible !... (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  414. Mais regardez la grosse madame Nerval : elle semblait d'assez forte santé, celle-là ! (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  415. C'est pour dire qu'on meurt ; que c'est dans les choses possibles, et que vous devriez bien - pour vous-même et aussi pour lui, - être un peu plus souvent de bonne humeur. (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  416. Tu as raison, Martin, mais comment faire ? (Acte 4, scène 1, SMILIS)
  417. Comment faire ?... (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  418. Seulement, ils ne viennent pas ici, ceux-là. (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  419. Mais l'oncle vient, et, comme c'est l'oncle, c'est déjà un grand bonheur, et on sait lui sourire, à lui, dès qu'on l'aperçoit au bout de l'allée !... (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  420. pour moi, ça m'est égal,- quoique ça me soit pénible. (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  421. Crois-tu cela, vraiment ? (Acte 4, scène 1, SMILIS)
  422. Car il ne faut pas croire que je n'aime plus que vous toute seule ! (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  423. J'ai les deux à aimer, moi ! (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  424. Et je l'aime, lui, comme je vous aime, autant, et peut-être davantage ! (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  425. Vous ne me bouderez pas ? (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  426. Je l'étais tellement à Toulon, que le service de Chine, où l'on servait le café à monsieur l'aide de camp, est tout dépareillé !... (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  427. Ce jeune homme me faisait trembler les mains. (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  428. mais c'est l'idée que nous ne pouvons pas, à nous deux, vous faire le même plaisir !... (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  429. Est-ce que vous me boudez ?... (Acte 4, scène 1, MARTIN)
  430. Non, Martin, non, au contraire, je te remercie ! (Acte 4, scène 1, SMILIS)
  431. Comment vas-tu ce soir, ma chère enfant ? (Acte 4, scène 2, L'AMIRAL)
  432. Il prétend que je dois renoncer à mes travaux comme d'autres au tabac ; c'est un peu dur ! (Acte 4, scène 2, L'AMIRAL)
  433. Voyons, ma chérie, admets-tu qu'on déserte son poste ? (Acte 4, scène 2, L'AMIRAL)
  434. Un savant a son courage à lui, son honneur, ses périls, comme un soldat ! (Acte 4, scène 2, L'AMIRAL)
  435. Tu te rappelles, sur nos grands navires, comme nous n'avions pas peur... (Acte 4, scène 2, L'AMIRAL)
  436. La mort, tranquillement chez soi, entouré de ce qu'on aime, c'est encore plus simple, c'est encore moins effrayant !... (Acte 4, scène 2, L'AMIRAL)
  437. quand même je serais mort, toutes les fois que tu serais contente, tu pourrais dire : « Il me voit gaie, il est heureux !... » (Acte 4, scène 2, L'AMIRAL)
  438. Tu m'aimes donc toujours bien ? (Acte 4, scène 2, L'AMIRAL)
  439. Quand tu me le dis, je ne souffre plus ! (Acte 4, scène 2, L'AMIRAL)
  440. Va te faire belle : une femme doit être un peu coquette ; va !... (Acte 4, scène 2, L'AMIRAL)
  441. Tu me rendras cette justice que j'avais prévu ce qui arrive, que je t'avais averti, et que, si les choses en sont là, ce n'est pas ma faute ! (Acte 4, scène 4, RICHARD)
  442. Georges aime Smilis ! (Acte 4, scène 4, RICHARD)
  443. Mais il l'aime passionnément ! (Acte 4, scène 4, RICHARD)
  444. Comme on doit aimer... (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  445. Enfin, il faut ton consentement, et tu vas donner, ici, ta signature. (Acte 4, scène 4, RICHARD)
  446. Mais, est-ce qu'elle l'aime, - elle ?... (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  447. Et si elle ne l'aime pas, que m'importe ! (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  448. Crois-tu m'apprendre les sentiments de Georges ? (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  449. Il me les a lui-même virilement avoués ! (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  450. Et c'est alors que j'ai emmené ici ma pauvre enfant... (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  451. Eh bien, elle a pour lui beaucoup d'amitié, elle le regrette certainement un peu, elle est souvent triste, parce qu'en vérité notre vie est trop solitaire. (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  452. Mais rien ne me dit qu'elle aime Georges. (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  453. L'éloignement est le grand remède. (Acte 4, scène 4, RICHARD)
  454. C'est son métier d'homme. (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  455. Je crois, en effet, le moment venu, puisque tu veux absolument qu'il parte !... (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  456. Écoute ceci, Richard : il y a longtemps que je me suis dit à moi-même ce que tu me répétais l'autre jour encore : le coeur de l'enfant reste libre ; elle aimera !... (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  457. Ai-je souhaité qu'il l'aime et qu'elle l'aime ? (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  458. par moments peut-être... (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  459. - J'ai souhaité sûrement que, si elle venait à aimer, - ce fût lui !... (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  460. Et si enfin elle l'aime, - et voilà ce qui me reste à savoir, - alors, n'ayant plus rien à craindre, plus rien à espérer... (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  461. - Comment et pourquoi ? (Acte 4, scène 4, RICHARD)
  462. Parce qu'elle a droit à la liberté, à l'amour, au bonheur, et que je l'aime assez pour vouloir les lui rendre : je les lui ai volés ! (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  463. Parce que, maintenant, je les lui dois deux fois : comme père, et comme larron ! (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  464. Parce que toutes les pensées terribles qui criaient en moi, souviens t'en, - la nuit de mes noces, - sont devenues les compagnes muettes mais inséparables... (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  465. Parce que, depuis ce moment, Richard, je n'ai plus osé regarder droit au fond de tes yeux où l'amitié voile le reproche !... (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  466. Peux-tu donc penser que je les ai conduits jusque-là comme au bord d'un abîme, pour les précipiter ?... (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  467. si on me soupçonnait... ! (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  468. - L'oeuvre est commencée ; il faut qu'elle serve. (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  469. Des armes chargées, toujours sous ma main ! (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  470. Comment ne te l'a-t-il pas dit ? (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  471. L'aime-t-elle ? (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  472. Qu'elle l'aime ! (Acte 4, scène 4, L'AMIRAL)
  473. Sous un climat meurtrier. (Acte 4, scène 5, L'AMIRAL)
  474. Tes pleurs me tuent ! (Acte 4, scène 5, L'AMIRAL)
  475. Et je veux que ceux que tu aimes soient là, tout près de toi, quand je n'y serai plus, - bientôt ! (Acte 4, scène 5, L'AMIRAL)
  476. Dans le premier moment, la surprise, c'est vrai... (Acte 4, scène 5, SMILIS)
  477. Voici mon testament, - les instructions dernières... (Acte 4, scène 6, L'AMIRAL)
  478. Les suprêmes précautions. (Acte 4, scène 6, L'AMIRAL)
  479. Il y a de mauvais dévouements ! (Acte 4, scène 6, RICHARD)
  480. Et quel est ce mot : dévouement ? (Acte 4, scène 6, L'AMIRAL)
  481. C'est pour moi aussi que je meurs ! (Acte 4, scène 6, L'AMIRAL)
  482. Mais elle l'aime, Richard, elle se meurt, entends-tu ? (Acte 4, scène 6, L'AMIRAL)
  483. Elle se meurt de tristesse ! (Acte 4, scène 6, L'AMIRAL)
  484. C'est ma vie qui la tue ; je meurs pour qu'elle vive ! (Acte 4, scène 6, L'AMIRAL)
  485. Ton métier de marin n'est-il pas de mourir, seul à ton bord, pour sauver le dernier de tes hommes ?... (Acte 4, scène 6, L'AMIRAL)
  486. En les prenant ce matin, je pensais à ce jour, - tu étais mon second, - où nous jugeâmes le bateau perdu... (Acte 4, scène 6, L'AMIRAL)
  487. Désemparé, ne gouvernant plus, il allait à la côte, sur des falaises droites, invinciblement. (Acte 4, scène 6, L'AMIRAL)
  488. Nous dîmes : « Il y en a pour une heure. » (Acte 4, scène 6, L'AMIRAL)
  489. Alors, suivant notre vieille tradition, l'état-major descendit prendre la grande tenue, l'habit, l'épée, le costume de bal et de fête,- pour recevoir la mort, lui faire honneur, montrer aux hommes qu'on ne la craint pas, qu'on sait lui sourire. (Acte 4, scène 6, L'AMIRAL)
  490. À la mer, mon secret, à la mer ! (Acte 4, scène 6, L'AMIRAL)
  491. Que me dit-il là ?... (Acte 4, scène 7, MARTIN)
  492. Comme ça ? (Acte 4, scène 7, MARTIN)
  493. Voici mon second ; je lui ai remis le commandement ; il te dira ce que tu auras à faire... (Acte 4, scène 7, L'AMIRAL)

AU CLAIR DE LA LUNE (1870)

  1. Comment ! v.43 (Acte 2, scène 1, PIERROT)
  2. Tu mets quadruples les morceaux, et tu t'étonnes, v.50 (Acte 2, scène 1, COLOMBINE)
  3. Guide mes appétits, sages quoi qu'on en dise ! v.54 (Acte 2, scène 1, PIERROT)
  4. Ni pour le jour non plus... Je me suis mal conduit ; v.56 (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  5. Je suis, hélas ! Hélas ! Un des martyrs du terme ! v.61 (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  6. Si j'eusse déjeuné, j'aurais été plus ferme ; v.62 (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  7. Colomba ! Colombine ! Ô femmes ! Ô femelles ! v.65 (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  8. Et nous n'avons d'ami sûr que notre instrument. v.75 (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  9. Me demander ma plume à cette heure de nuit, v.95 (Acte 2, scène 2, PIERROT)
  10. C'est étrange ! et d'ailleurs qui me trouble me nuit, v.96 (Acte 2, scène 2, PIERROT)
  11. Et je ne puis souffrir, quand j'aime et quand je mange, v.97 (Acte 2, scène 2, PIERROT)
  12. Toi qui vis grassement dans l'or et la richesse, v.106 (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  13. Si tu n'as pas un coeur, une âme de rocher, v.107 (Acte 2, scène 2, ARLEQUIN)
  14. Hi ! Hi ! le pauvre diable ! Ah ! Pierrot, sur ton âme !... v.109 (Acte 2, scène 2, COLOMBINE)
  15. Tel Samson se laissa raser par une femme ! v.110 (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  16. Lamentable, tout en m'appelant son ami ! v.115 (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  17. Ainsi, brune beauté, je ne pourrais pas même v.129 (Acte 2, scène 3, ARLEQUIN)
  18. Préserver des frimas cette gorge que j'aime. v.130 (Acte 2, scène 3, ARLEQUIN)
  19. Me voler mon festin sans courir à la garde, v.133 (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  20. Tout à l'heure, si bien et si douillettement ! v.139 (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  21. C'est dur ! C'est dur ! Ô lune, étoiles, firmament, v.140 (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  22. J'aimai la poésie, et je l'aime encor, certes ! v.141 (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  23. Mais j'aime le bien-être ! Au temps des feuilles vertes v.142 (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  24. M'assoupir lentement et dormir en personne !... v.146 (Acte 2, scène 3, PIERROT)
  25. Vous êtes belle, à ma maîtresse, je vous aime ! v.149 (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  26. Eh ! N'êtes-vous pas beau, mon Arlequin, vous-même ? v.150 (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  27. Masqué de noir, avec des flammes dans les yeux ? v.152 (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  28. Mais tu l'as dit : tu n'as pas un sou ; comment faire ? v.154 (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  29. Comment faire ?... Eh ! parbleu, comme nous avons fait v.155 (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  30. Et tout doucettement nous aimer à sa face ? v.158 (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  31. Vraiment, et que crains-tu ? v.159 (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  32. J'ai mon plan ! Tandis que mon Pierrot s'enrhume, v.161 (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  33. Je m'en vais m'affubler de son pâle costume ! v.162 (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  34. Mais, outre son costume, il me faut à tout prix v.167 (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  35. Ne me prendrait-on pas pour un niais ainsi ? v.172 (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  36. Parfaitement. v.173 (Acte 2, scène 4, COLOMBINE)
  37. C'est légitime, car je suis Pierrot ! v.175 (Acte 2, scène 4, ARLEQUIN)
  38. Sergent, viens arrêter cet homme au nom du Roi ! v.176 (Acte 2, scène 5, PIERROT)
  39. Messieurs, il est entré chez moi par ruse infâme, v.177 (Acte 2, scène 5, LE GUET)
  40. Et... dans cet instant même il caresse ma femme ! v.178 (Acte 2, scène 5, LE GUET)
  41. Messieurs ! Sergent ! Messieurs ! v.181 (Acte 2, scène 5, LE GUET)
  42. J'ai fait erreur : c'est clair. L'homme parfois s'abuse, v.182 (Acte 2, scène 5, LE GUET)
  43. S'abuse étrangement, étrangement ma foi ! v.183 (Acte 2, scène 5, LE GUET)
  44. Celui de là dedans, messieurs, c'est moi ! C'est moi, v.184 (Acte 2, scène 5, LE GUET)
  45. C'est moi-même, Pierrot ! Cela tient du prodige, v.185 (Acte 2, scène 5, LE GUET)
  46. Mais je me suis bien vu, je me suis vu, vous dis-je ! v.186 (Acte 2, scène 5, LE GUET)
  47. C'est moi qui me suis mis sottement à la porte ! v.189 (Acte 2, scène 5, LE GUET)
  48. C'est moi, Pierrot ! - Vraiment, la chose est un peu forte, v.190 (Acte 2, scène 5, LE GUET)
  49. Et je me croyais plus mon ami que cela ! v.191 (Acte 2, scène 5, LE GUET)
  50. Me chasser par un soir d'amour et de gala ! v.192 (Acte 2, scène 5, LE GUET)
  51. Me chasser par un froid de loup, et, triple bête, v.193 (Acte 2, scène 5, LE GUET)
  52. Me mettre à dos la garde en marchant à sa tête ! v.194 (Acte 2, scène 5, LE GUET)
  53. Non pas ! Je me suis pris v.195 (Acte 2, scène 5, PIERROT)
  54. Empoignez-moi cet homme ! v.197 (Acte 2, scène 5, PIERROT)
  55. Ô sergent, bon sergent, j'ai là certaine somme. .1 v.198 (Acte 2, scène 5, PIERROT)
  56. Pour me faire appeler blanc benêt ? Non, sergent ! v.200 (Acte 2, scène 5, PIERROT)
  57. Non ! Non ! Voici la somme. v.203 (Acte 2, scène 5, PIERROT)
  58. Je ne mets pas mon verre à ma lèvre ? v.207 (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  59. Ici sans Colomba, là nous sommes ensemble ! v.210 (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  60. Le merveilleux s'acharne après moi tout exprès, v.212 (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  61. Et j'ai toujours un mot à chercher, un problème v.213 (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  62. À résoudre, et j'en ai la face à jamais blême ! v.214 (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  63. Car enfin, c'est bien moi qui suis dans mon costume ! v.217 (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  64. Oui, je me reconnais : léger comme une plume, v.218 (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  65. Blanc comme neige, avec un magnifique oeil noir, v.219 (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  66. Et je n'aimai jamais à me faire souffrir ; v.223 (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  67. Comment ? v.233 (Acte 2, scène 6, ARLEQUIN)
  68. C'est toi, frileux et blême ! v.233 (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  69. C'est Pierrot qui te prend pour lui-même !.. v.234 (Acte 2, scène 6, COLOMBINE)
  70. Si donc je suis là-bas, je me trouve à la porte, v.237 (Acte 2, scène 6, ARLEQUIN)
  71. Hélas ! Mais je me vois là dedans ! v.241 (Acte 2, scène 6, PIERROT)
  72. Ah ! Pierrot, je dormais si bien ! D'un si bon somme ! v.245 (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  73. Ah çà ! Lequel des deux est moi Pierrot, en somme ? v.246 (Acte 2, scène 7, PIERROT)
  74. Deux femmes ni deux lits, et je vois deux Pierrots ! v.248 (Acte 2, scène 7, PIERROT)
  75. Je me lève matin pour écrire mes vers ; v.255 (Acte 2, scène 7, PIERROT)
  76. Et les meilleurs seront de Pierrot. v.260 (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  77. Colombine, Pierrot vous aime seul sur terre ; v.261 (Acte 2, scène 7, ARLEQUIN)
  78. Hi ! hi ! hi ! hi ! Je suis vraiment embarrassée ! v.273 (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  79. L'un a la forme, soit ! Mais l'autre a la pensée ! v.274 (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  80. J'ai vu sa batte ! Hélas ! Comment faire à présent ? v.279 (Acte 2, scène 7, PIERROT)
  81. En libre possesseur rentrer dans ma demeure ! v.282 (Acte 2, scène 7, PIERROT)
  82. Décidément, Pierrot c'est lui ! v.283 (Acte 2, scène 7, COLOMBINE)
  83. Je suis donc un mensonge ? une illusion pure ? v.286 (Acte 2, scène 7, PIERROT)
  84. Soyons heureux. Veux-tu me tendre tes genoux, v.292 (Acte 2, scène 8, ARLEQUIN)
  85. Que j'y mette mon front et que je m'y repose ? v.293 (Acte 2, scène 8, ARLEQUIN)
  86. Qu'il se réveillera malgré lui de son somme ! v.301 (Acte 2, scène 8, PIERROT)
  87. Par les poisons d'enfer ! Que voulez-vous, bonhomme ? v.302 (Acte 2, scène 9, LE DOCTEUR)
  88. Vous avez tant cogné que, pris de tremblement, v.303 (Acte 2, scène 9, LE DOCTEUR)
  89. Les meubles précieux de mon appartement v.304 (Acte 2, scène 9, LE DOCTEUR)
  90. Choqués l'un contre l'autre ont craqué comme verre, v.305 (Acte 2, scène 9, LE DOCTEUR)
  91. Tu me la prêteras pour de l'argent comptant. v.311 (Acte 2, scène 9, PIERROT)
  92. Tu me cèdes un peu de ta bonne liqueur v.315 (Acte 2, scène 9, PIERROT)
  93. Mets m'en pour quelques sols dans un flacon, et tâche v.317 (Acte 2, scène 9, PIERROT)
  94. Tu me saignes, Docteur ! v.325 (Acte 2, scène 9, PIERROT)
  95. Elle ne me plaît pas. v.326 (Acte 2, scène 9, PIERROT)
  96. Tu me tiens dans ta serre ! v.329 (Acte 2, scène 9, PIERROT)
  97. Qui va là ? Je rêvais si doucement ! Qui frappe ? v.341 (Acte 2, scène 10, ARLEQUIN)
  98. Assis sous ton flambeau me chauffer à ton feu, v.344 (Acte 2, scène 10, PIERROT)
  99. Et je me suis permis de troubler ton sommeil. v.347 (Acte 2, scène 10, PIERROT)
  100. Comme vous êtes pâle ! v.349 (Acte 2, scène 11, ARLEQUIN)
  101. Tous mes poils sont tombés, ainsi que tu le vois. v.352 (Acte 2, scène 11, PIERROT)
  102. Eh ! oui, vraiment, je suis à plaindre ! v.353 (Acte 2, scène 11, PIERROT)
  103. Je regrette ma barbe ; elle me faisait craindre !... v.354 (Acte 2, scène 11, PIERROT)
  104. Sans nuls soucis, avec ta femme à ton côté. v.356 (Acte 2, scène 11, PIERROT)
  105. Non, merci ! Désolé de refuser cela, v.359 (Acte 2, scène 11, PIERROT)
  106. Bourgogne, les meilleurs vins de France et du Rhin v.363 (Acte 2, scène 11, PIERROT)
  107. N'ont pas le doux fumet de ce vin souverain ! v.364 (Acte 2, scène 11, PIERROT)
  108. C'est de l'or distillé, c'est un sacré dictame v.365 (Acte 2, scène 11, PIERROT)
  109. Qui, passant par le cou, s'en va droit jusqu'à l'âme ! v.366 (Acte 2, scène 11, PIERROT)
  110. Comment l'avez-vous eu, docteur ? et dans quel lieu, v.368 (Acte 2, scène 11, ARLEQUIN)
  111. Dans quel paradis croît la merveilleuse vigne ? v.369 (Acte 2, scène 11, ARLEQUIN)
  112. Nommer son champ natal... que servirait d'ailleurs ? v.371 (Acte 2, scène 11, PIERROT)
  113. Cela ne rendrait pas vos propres vins meilleurs ; v.372 (Acte 2, scène 11, PIERROT)
  114. Ses yeux multipliés vous charment, belle fille ! v.378 (Acte 2, scène 11, PIERROT)
  115. Goûtait de ce nectar deux perles seulement ! v.380 (Acte 2, scène 11, PIERROT)
  116. On se pâme, on se croit aux festins de l'Olympe ! v.381 (Acte 2, scène 11, PIERROT)
  117. Car... dans un pur sommeil... mon dictame... vous plonge, v.385 (Acte 2, scène 11, PIERROT)
  118. Vous m'empruntez mon teint, mes culottes, ma blouse, v.389 (Acte 2, scène 11, PIERROT)
  119. Peste, il avait choisi mes effets du dimanche ! v.402 (Acte 2, scène 11, PIERROT)
  120. Arlequin, mon ami, remets ton masque noir, v.403 (Acte 2, scène 11, PIERROT)
  121. Vous, Madame, je vous pardonnerai, pourvu v.407 (Acte 2, scène 11, PIERROT)

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Dans les 1895 textes du corpus, il y a 3 textes (soit une présence dans 0,16 % des textes) dans lesquels il y a 751 occurences de la forme recherchée, soit une moyenne de 250,33 occurences par texte.

Titres Acte 1 Acte 2 Acte 3 Acte 4 Total
1 PYGMALION137000137
2 SMILIS1629813794491
3 AU CLAIR DE LA LUNE012100121
4 SMILIS00112
  Total29921913895751

 

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